#Autres pays : De Rabat, à Bamako en passant par Nouakchott ou Dakar, nos reporters sont partis à la rencontre des étudiants d’Afrique subsaharienne au Maroc ainsi que d’anciens lauréats qui occupent actuellement des postes de responsabilité dans leurs pays. Tour du continent.
L’accompagnement de ces contingents d’étudiants étrangers est la mission historique de cette entité publique, créée en 1986 et qui ne cesse d’innover pour offrir plus d’opportunités aux pays partenaires. «Nous avons initié un programme pour placer dans les grandes universités marocaines, telles que l’UM6P ou l’université Al Akhawayn, pour accueillir des étudiants originaires de pays africains qui sont pris en charge à travers un appui de la Banque Islamique de développement», nous explique Mohamed Methqal, ambassadeur directeur général de l’AMCI.
L’agence veille par ailleurs à maintenir le contact avec tous les étudiants qui fréquentent les établissements supérieurs publics marocains. Cela passe par les liens étroits qu’elle entretient avec les structures estudiantines comme la Confédération des étudiants et stagiaires africains étrangers au Maroc (CESAM) ainsi que l’Association des lauréats étrangers du Maroc (ASLEM).
L’Agence a même créé l’année dernière la plateforme «Maroc Alumni» (www.Morocco-Alumni.ma) pour rassembler et fédérer plus de 40.000 lauréats et étudiants qui sont passés par l’AMCI. Car il s’agit d’autant d’ambassadeurs informels pour le Maroc, dans leurs pays où ils occupent de hautes responsabilités.
Nous sommes partis à la rencontre de certains de ces anciens du Maroc. Découvrez leur histoire.